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Chaque coureur, qu’il s’entraîne pour un 5 km, semi-marathon ou marathon complet—fait face à la même question : 👉 « Combien de temps devrait réellement durer ma longue course ? »
Le long terme est la pierre angulaire de l’entraînement d’endurance. C’est l’entraînement qui construit votre aérobique moteur, renforce les muscles et les tissus conjonctifs et apprend à votre corps (et à votre esprit) à tenir la distance.
Mais si le principe semble simple – « aller plus longtemps » – le durée, rythme et fréquence optimaux dépendent de facteurs comme objectifs d’entraînement, expérience et capacité de récupération.
Cet article détaille tout ce que vous devez savoir sur la durée d’une longue course, en fonction de recherche en physiologie de l’exercice, cadres de coaching d’éliteet expérience du monde réel de milliers de coureurs.
Le terme “long terme” fait référence à une séance d’entraînement qui dure beaucoup plus longtemps que votre course quotidienne moyenne, généralement 20 à 30 % plus long en durée ou en distance.
Pour la plupart des coureurs, cela signifie :
La clé est temps à piedpas seulement le kilométrage. L’objectif à long terme est de développer endurance aérobie, métabolisme des graisseset résilience musculaire– pour ne pas vous épuiser.
Le long terme déclenche des adaptations physiologiques uniques qu’aucun autre entraînement ne reproduit pleinement.
Courir plus longtemps à un rythme régulier augmente densité mitochondriale (les usines énergétiques de la cellule), réseaux capillaireset activité enzymatique aérobie (Coyle et coll., 1988). Ces adaptations améliorent l’efficacité avec laquelle votre corps utilise l’oxygène, essentiel pour la course de fond.
Lors de longues courses, les réserves de glycogène musculaire s’épuisentforçant votre corps à utiliser la graisse comme source de carburant. L’entraînement de ce système améliore la « flexibilité métabolique », retardant ainsi la fatigue lors des longues courses (Achten & Jeukendrup, 2003).
Contact au sol prolongé raideur tendineuse, stabilité des articulationset résilience du tissu conjonctifréduisant ainsi le risque de blessure lorsque le kilométrage augmente.
Le long terme enseigne rythme, se concentreret tolérance mentale à la fatigue– des compétences cruciales pour la course et la vie.
La physiologie du sport montre que les adaptations clés de l’endurance s’accélèrent après environ 90 minutes de course aérobie régulière (Seiler & Tønnessen, 2009).
À ce stade, votre corps commence :
C’est pourquoi de nombreux plans d’entraînement d’élite comportent de longues courses commençant vers 90 minutes et en augmentant progressivement.
Au-delà de ~2 heures, les bénéfices physiologiques plateau alors que le risque de blessure et de fatigue augmente.
Le but n’est pas de voir jusqu’où vous pouvez aller, mais d’accumuler un stress d’entraînement bénéfique. sans compromettre la récupération.
Cependant, les marathoniens et les ultrarunners doivent aller au-delà de cela, stratégiquement.
Décomposons la durée optimale à long terme en type de course et niveau d’expérience.
Même si votre course dure <60 minutes, des courses plus longues boostez votre VO₂ max, résistance à la fatigueet vitesse de récupération.
👉 Courez votre premier 5 km en 10 semaines : le plan d’entraînement complet pour débutant
Conseil: Alternez entre de longues courses aérobiques régulières et des courses progressives (dernières 30 minutes proches du rythme de la course).
Aperçu d’élite : La plupart des entraîneurs (Pfitzinger, Daniels, Lydiard) limitent les longues courses de marathon à 3 heuresquelle que soit la distance, pour éviter une fatigue excessive et des risques de surentraînement.
Les ultrarunners soulignent exécutions basées sur le temps et spécificité du terrain plutôt qu’un kilométrage fixe.
Les deux méthodes fonctionnent, mais formation par temps offre un meilleur contrôle de l’effort et de la récupération.
| Approche | Avantages | Inconvénients |
|---|---|---|
| Par distance (par exemple, 18 miles) | Métrique familière pour les marathoniens | Peut pousser les coureurs à courir trop longtemps s’ils sont fatigués |
| Par heure (par exemple, 2,5 heures) | Se concentre sur la durée, pas sur la vitesse | Moins intuitif pour le rythme de la course aux objectifs |
Bonne pratique : Utilisez le temps pendant l’entraînement de base, passez à la distance à mesure que votre course approche.
Votre longue course devrait être 20 à 30 % de votre kilométrage hebdomadaire total.
Si vous vous sentez excessivement endolori ou fatigué pendant plus de 48 heures après votre longue course, c’est trop long ou trop rapide.
Courir vos longues courses trop vite est l’une des plus grosses erreurs d’entraînement. Visez à rester dans Zone 2 à 3 (60 à 75 % FCmax)– un « rythme aérobie facile ».
Pourquoi lent fonctionne :
Les coureurs d’élite conservent leurs longues courses 90 à 120 secondes plus lentes par mile que le rythme de la course (Seiler, 2010).
“Le long terme n’est pas une question de vitesse, c’est une question de force.”
— Jack Daniels, PhD, physiologiste de l’exercice et entraîneur de course à pied
La version classique : courez à un rythme constant et confortable. Développe l’endurance aérobie et l’endurance mentale.
Commencez doucement et terminez les 20 à 30 dernières minutes au rythme d’un marathon. Trains résistance à la fatigue et contrôle de la stimulation.
Courez les 3 à 6 derniers milles à un rythme ou plus rapide que le rythme de la course. Constructions confiance et recrutement musculaire sous la fatigue.
Insérez de courtes rafales (1 à 2 minutes) au rythme toutes les 20 minutes. Améliore élasticité aérobie et la réactivité à la course.
Utilisé par les ultrarunners pour simuler la course avec des jambes fatiguées tout en limitant le stress d’une seule séance.
La récupération détermine dans quelle mesure votre corps s’adapte au stress de l’entraînement.
Si la douleur persiste, remplacez votre prochain entraînement intensif par une séance d’aérobic facile ou un entraînement croisé.
Pour les courses de moins de 90 minutes : eau + électrolytes peut suffire.
Pour les courses de plus de 90 minutes :
Le modèle de formation polarisé (Seiler, 2010) utilisé par les athlètes d’élite norvégiens divise l’intensité de l’entraînement :
Le long terme est fermement ancré dans le 80 % de zone facilefournissant un volume aérobie fondamental qui permet un entraînement plus rapide plus tard.
Même les athlètes d’élite ajustent leurs courses longues en fonction de leur état de récupération.
Sautez ou raccourcissez votre longue course si vous ressentez :
Cohérence > un long terme héroïque.
| Semaine | Longue durée | Se concentrer |
|---|---|---|
| 1 | 90 minutes | Bâtiment de base |
| 2 | 100 minutes | Développement aérobie |
| 3 | 110 minutes | Pratique de ravitaillement |
| 4 | 120 minutes | Finition progressive |
| 5 | 130 minutes | Arrivée au rythme de la course |
| 6 | 150 minutes | Pic à long terme |
| 7 | 100 minutes | Déchargement/récupération |
| 8 | 140 minutes | Course de confiance |
| 9 | 90 minutes | Cône |
Mythe n°1 : Vous devez courir plus de 20 miles pour terminer un marathon.
Vérité : c’est le volume hebdomadaire total et capacité aérobiquepas un seul long terme, qui détermine le succès.
Mythe n°2 : Plus longtemps, c’est toujours mieux.
Vérité : Au-delà de 2 à 3 heures, le retour sur investissement diminue tandis que le risque de blessure augmente.
Mythe n°3 : Vous devriez courir au rythme d’un marathon.
Vérité : c’est une recette pour le surentraînement. La plupart des longs trajets devraient être beaucoup plus lent.
Voici comment concevoir votre stratégie idéale à long terme :
N’oubliez pas : le long terme concerne de la cohérence, pas de l’héroïsme.
Alors, quelle devrait être la durée réelle d’un « long terme » ?
Assez long pour stimuler l’adaptation, assez court pour s’en remettre.
Pour la plupart des coureurs, cela signifie 90 minutes à 2,5 heures– ajusté en fonction de l’expérience et des objectifs.
Le long terme ne consiste pas seulement à développer l’endurance physique, il s’agit également de cultiver discipline, patience et résilience. Lorsqu’on l’aborde intelligemment, cela devient plus qu’un entraînement ; c’est une pratique hebdomadaire endurance et confiance en soi.